« On a gagné en confort »

GAEC Delort, Saint Vitte sur Briance (87)

Informations sur l'exploitation :

• Saint Vitte sur Briance (87)
• 2 associés (UMO)
• Elevage de bovins viande : 130 vaches Limousine
• SAU : 155 Ha (dont 13 Ha de céréales en orge)
• Fabrication de 100 tonnes d’aliments par an / 1 cellule extérieure de 70 tonnes
• Fabrique d’aliments à la ferme SKIOLD : broyeur à disques Disc Mill / mélangeur horizontal de 500 kg (H500) / pilotage par le boitier Fabristar - mise en service en 2022

Pourquoi notre propre fabrique d’aliments à la ferme ?

Le GAEC Delort a fait le choix de la fabrique d’aliments à la ferme pour gagner en confort de travail. « On en avait marre de reprendre les céréales dans les boudins. Et puis, parfois les bâches des boudins s’abîmaient. »

Qu’est ce qui a fait la différence ?

Une fabrique d’aliments qui soit évolutive tant sur l’évolution des équipements « on peut ajouter des vis et des silos, y a de la place » que sur les matières premières car « si on veut faire d’autres céréales plus tard, avec le broyeur Disc Mill on peut tout faire ».

En témoigne l’armoire électromécanique qui est toujours pensée pour évoluer (ex : ajout d’entrées, de sorties et de protections).

Avec le Disc Mill, « on peut régler la granulométrie pile poil comme on veut avec le boitier Fabristar. On règle l’écartement des disques en fonction de la récolte. On fait varier en fonction de la parcelle, de la période de l’année ou du type de céréales. Par exemple, en début d’année, parfois la récolte est moins belle (grains plus petits) alors on resserre les disques. Ça se règle facilement. Et c’est automatique. »

Ce que nous a apporté la fabrique d’aliment ?

• « On a gagné en confort »

Comment se traduit un meilleur confort de travail ? Pour ce couple, le passage de l’aplatisseur à la fabrique d’aliments automatisée a permis de réduire la pénibilité.

• Réduction des manipulations « Moins de seaux à remuer. »
• Amélioration des conditions de travail « Quand il pleut, on est à l’abris ».
• Gain de temps « Au godet, on transporte des lots de 600 kg au nourrisseur et c’est bon. En 15mn c’est fait. » Avant, 30mn étaient nécessaires pour transporter le boudin.

• « On donne moins d’aliments »

« Avant, avec l’aplatisseur, certains grains n’étaient pas du tout toucher. Le blé est facile à écraser mais l’orge, l’enveloppe est beaucoup plus pailleuse. On trouvait des grains dans les bouses. Avec le Disc Mill, ce n’est pas le cas.

Et puis, on donne moins d’aliments et les veaux profitent. Quand il fait humide, ils transpirent.  « Le kilo d’aliments donné est mieux assimilé. On appelle ça l’efficience alimentaire. Moins y a de fine, moins les rations sont acidogènes et mieux elles sont valorisées par le rumen de la vache. » précise Eric Manenc, directeur des ventes chez SKIOLD.

• « On autoconsomme la céréale »

En Haute-Vienne, le GAEC Delort dispose de 155 Ha dont 12 à 14 Ha cultivées pour de l’orge. Le reste est utilisé pour l’élevage (surface d’herbes).

Des conseils pour d’autres éleveurs qui souhaiteraient investir en FAF ?

Automatiser l’installation sans hésiter pour gagner du temps !

Une installation réalisée en collaboration avec notre revendeur ETS Chevalier Robert (19)

Technico-commercial SKIOLD de secteur : Julien SAINT-AFFRE.

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